
« … et le mot « dire » serait faible s’il ne désignait cette justesse et cette évidence rare qui sont celles de la comédienne, un dire du poème comme on ne l’entend qu’exceptionnellement et auquel Frédérique Wolf-Michaux nous a habitué.(…) Quelque chose se passe qui rend non seulement audible mais quasi tactile la chair, la corporéité du poème, la carne toujours dans la langue. Et cette même épaisseur charnelle traverse le chant. La voix est superbe, il faut le dire ainsi tel que c’est. Dense et sensuelle, sombre et claire à la fois, juste aussi dans cette professionnalité impeccable, où l’on perçoit soudain la maîtrise et la prouesse technique qu’on oublie, pris simplement au piège de l’art –« du travail effacé par le travail ». Méditerranées, CB, « ici é là », revue de la maison de la poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines
« Frédérique Wolf-Michaux (…) égale à elle-même dans l’intensité de la présence et l’inventivité de comédienne et de chanteuse qu’on lui connaît, confirme ici sa maîtrise de metteur-en-scène et de scénographe dans ce très beau spectacle fort, exigeant et courageux qui, parle détour d’un imaginaire à la fois très personnel et nourri des problématiques théâtrales d’aujourd’hui, va au cœur de notre contemporanéité avec une netteté incisive et implacable » La Mer Intérieure, Voix-Algérie, C.B, Revue Algérie littérature action N° 73-74
"La chaude voix de contralto de Frédérique Wolf-Michaux est un régal. Outre son jeu de scène dans sa jupe à volants extravagante, sa présence est toute musicale, et son expression est impressionnante." Ce soir Gala, Ouest France, Quimper 01/2002
" Soulignons la difficulté majeure de l'oeuvre: La nécéssité pour les interprètes d'être à la fois chanteurs et acteurs. Seule Frédérique Wolf-Michaux, comédienne accomplie à l'articulation percutante et chanteuse de talent, se tire brillamment de cette entreprise risquée." Le Lac d'Argent, La Lettre du Musicien 01/2000
" Frédérique Wolf-Michaux a beaucoup de talents dont elle sait tirer le meilleur dans le chant comme dans le langage parlé. Les morceaux choisis, textes ou musiques, apportent soit une dimension esthétique indéniable, soit une grande puissance émotionnelle...des images très fortes, des moments d'intense expression émergent de ce no man's land impressionniste, mais il faut attendre la toute fin pour que le spectacle prenne toute sa dimension émotionnelle, lorsqu'instruments et lumières mêlent leurs stridences dans une insoutenable cacophonie visuelle et sonore pour nous parler d'un monde brutal et fou où les flonflons étouffent les plaintes de l'homme... On revient troublé de ce voyage dans les ténèbres, qui pose sur les cendres de notre siècle un regard lucide et généreux, et tente de construire sur ces décombres un langage capable d'en perpétuer le souvenir..." Checkpoint Charlie, D. Allard Le Pavé 10/11/1998
" Checkpoint Charlie, c'est, loin de tout discours sclérosant/sclérosé un spectacle qui évoque les grandes réussites du théâtre musical...Checkpoint Charlie, c'est le pari gagné de l'unité parfaite donnée à un collage de textes, poèmes, études sociologiques, récits romancés, témoignages et de musiques...Checkpoint Charlie, c'est enfin Frédérique Wolf-Michaux
( auteur du montage et responsable de la mise en scène) qui occupe l'espace de sa voix et de son corps: une magnifique voix qui réussit sans encombre les difficiles passages du parler au chant et du chant au parler et un corps dont elle fait jouer avec un égal bonheur la force et la fragilité. " Gabriel Vialle Le Provençal 10/11/199
"Frédérique Wolf-Michaux tout à la fois grande comédienne et magnifique contralto" Var Matin 25/04/1997
"Et que dire de Frédérique Wolf-Michaux! Sa voix, son physique et surtout son talent en font une Prima Donna superficielle et terriblement humaine" La Prima Donna, Var Matin 23/04/1997
" Une époustouflante comédienne et chanteuse Frédérique Wolf-Michaux qui montre en une seule soirée et en deux spectacles très différents la richesse d'un double talent aux multiples facettes et retient de bout en bout le souffle et l'oreille" Pile ou Face, La révolution Prolétarienne 1/09/1996
" Une actrice qui sait tout faire de sa voix et de son corps (...) un récital dansé d'une actrice qui est tout ensemble acrobate et contralto: Frédérique Wolf-Michaux est ce corps ouvrier du texte.(...) Elle seule pouvait jouer sur les deux identités, entre bel canto et jazz, du grave à l'aigu, de la prose à la poésie, et dire le désir du plaisir en un hymne aux mots qui chantent impudents, quand on sait, comme en ce "one woman show" époustouflant, les faire danser de façon si naturellement théâtrale". La Prima Donna L'Eveil 24/11/1995
"Rarement corps et voix auront aussi justement incarné les mots d'une vie d'autant plus attachante que rire et dérision s'y mêlent volontiers (...) une véritable Prima Donna terriblement humaine Frédérique Wolf-Michaux " La Prima Donna Taktik 22/11/1995
" Autour de Frédérique Wolf-Michaux, splendide bête de scène, pour elle et par elle une constellation de talents au service d'un spectacle unique" Espace-Vous La Marseillaise 6/04/1995
" Frédérique Wolf-Michaux joue, danse, chante, met son âme à nu, met son corps et sa voix en danger constant. La performance, bien sûr, est superbe mais jamais vaine. Ce qui intéresse l'actrice, c'est de travailler sur les limites. Limites entre la parole et le chant, le silence et la musique, la mémoire et les choses qui sont enfouies plus profondément en nous. (...) Elle est comme un funambule, avançant parfois avec légèreté, d'autres fois avec plus de difficulté au dessus des chutes du Niagara sur un mince fil. Un solo splendide" Espace-Vous Le Provençal 5/04/1995
"L'ensemble ne sort pas de sa réserve, hormis le final où la voix de basse de Frédérique Wolf-Michaux s'élève alors que le noir envahit le lieux". Rapport pour une Académie Ouest-France 11/01/1996
"...Et surtout Frédérique Wolf-Michaux dont la voix et la présence sont inoubliables" Le Lapon, le savant et l'apprenti Boréales 4/02/93
"Un fil conducteur onirique, la voix de Frédérique Wolf-Michaux sur une musique de Richard Dubelski. C'est cette voix, cette musique (...) que l'on retient." Le Lapon, le savant et l'apprenti Le Monde 4/01/1993
"L'engagement sans limite des chanteuses Dalila Khatir et Frédérique Wolf-Michaux, toutes deux aussi belles qu'émouvantes, bouleversantes" Elter Skelter La Marseillaise 21/12/1990
"Frédérique Wolf-Michaux drapée d'intemporelle beauté est la voix incantatoire de ce Désert brûlant" Fragment Désert Le Provençal 13/03/1987
« Frédérique Wolf-Michaux (…) égale à elle-même dans l’intensité de la présence et l’inventivité de comédienne et de chanteuse qu’on lui connaît, confirme ici sa maîtrise de metteur-en-scène et de scénographe dans ce très beau spectacle fort, exigeant et courageux qui, parle détour d’un imaginaire à la fois très personnel et nourri des problématiques théâtrales d’aujourd’hui, va au cœur de notre contemporanéité avec une netteté incisive et implacable » La Mer Intérieure, Voix-Algérie, C.B, Revue Algérie littérature action N° 73-74
"La chaude voix de contralto de Frédérique Wolf-Michaux est un régal. Outre son jeu de scène dans sa jupe à volants extravagante, sa présence est toute musicale, et son expression est impressionnante." Ce soir Gala, Ouest France, Quimper 01/2002
" Soulignons la difficulté majeure de l'oeuvre: La nécéssité pour les interprètes d'être à la fois chanteurs et acteurs. Seule Frédérique Wolf-Michaux, comédienne accomplie à l'articulation percutante et chanteuse de talent, se tire brillamment de cette entreprise risquée." Le Lac d'Argent, La Lettre du Musicien 01/2000
" Frédérique Wolf-Michaux a beaucoup de talents dont elle sait tirer le meilleur dans le chant comme dans le langage parlé. Les morceaux choisis, textes ou musiques, apportent soit une dimension esthétique indéniable, soit une grande puissance émotionnelle...des images très fortes, des moments d'intense expression émergent de ce no man's land impressionniste, mais il faut attendre la toute fin pour que le spectacle prenne toute sa dimension émotionnelle, lorsqu'instruments et lumières mêlent leurs stridences dans une insoutenable cacophonie visuelle et sonore pour nous parler d'un monde brutal et fou où les flonflons étouffent les plaintes de l'homme... On revient troublé de ce voyage dans les ténèbres, qui pose sur les cendres de notre siècle un regard lucide et généreux, et tente de construire sur ces décombres un langage capable d'en perpétuer le souvenir..." Checkpoint Charlie, D. Allard Le Pavé 10/11/1998
" Checkpoint Charlie, c'est, loin de tout discours sclérosant/sclérosé un spectacle qui évoque les grandes réussites du théâtre musical...Checkpoint Charlie, c'est le pari gagné de l'unité parfaite donnée à un collage de textes, poèmes, études sociologiques, récits romancés, témoignages et de musiques...Checkpoint Charlie, c'est enfin Frédérique Wolf-Michaux
( auteur du montage et responsable de la mise en scène) qui occupe l'espace de sa voix et de son corps: une magnifique voix qui réussit sans encombre les difficiles passages du parler au chant et du chant au parler et un corps dont elle fait jouer avec un égal bonheur la force et la fragilité. " Gabriel Vialle Le Provençal 10/11/199
"Frédérique Wolf-Michaux tout à la fois grande comédienne et magnifique contralto" Var Matin 25/04/1997
"Et que dire de Frédérique Wolf-Michaux! Sa voix, son physique et surtout son talent en font une Prima Donna superficielle et terriblement humaine" La Prima Donna, Var Matin 23/04/1997
" Une époustouflante comédienne et chanteuse Frédérique Wolf-Michaux qui montre en une seule soirée et en deux spectacles très différents la richesse d'un double talent aux multiples facettes et retient de bout en bout le souffle et l'oreille" Pile ou Face, La révolution Prolétarienne 1/09/1996
" Une actrice qui sait tout faire de sa voix et de son corps (...) un récital dansé d'une actrice qui est tout ensemble acrobate et contralto: Frédérique Wolf-Michaux est ce corps ouvrier du texte.(...) Elle seule pouvait jouer sur les deux identités, entre bel canto et jazz, du grave à l'aigu, de la prose à la poésie, et dire le désir du plaisir en un hymne aux mots qui chantent impudents, quand on sait, comme en ce "one woman show" époustouflant, les faire danser de façon si naturellement théâtrale". La Prima Donna L'Eveil 24/11/1995
"Rarement corps et voix auront aussi justement incarné les mots d'une vie d'autant plus attachante que rire et dérision s'y mêlent volontiers (...) une véritable Prima Donna terriblement humaine Frédérique Wolf-Michaux " La Prima Donna Taktik 22/11/1995
" Autour de Frédérique Wolf-Michaux, splendide bête de scène, pour elle et par elle une constellation de talents au service d'un spectacle unique" Espace-Vous La Marseillaise 6/04/1995
" Frédérique Wolf-Michaux joue, danse, chante, met son âme à nu, met son corps et sa voix en danger constant. La performance, bien sûr, est superbe mais jamais vaine. Ce qui intéresse l'actrice, c'est de travailler sur les limites. Limites entre la parole et le chant, le silence et la musique, la mémoire et les choses qui sont enfouies plus profondément en nous. (...) Elle est comme un funambule, avançant parfois avec légèreté, d'autres fois avec plus de difficulté au dessus des chutes du Niagara sur un mince fil. Un solo splendide" Espace-Vous Le Provençal 5/04/1995
"L'ensemble ne sort pas de sa réserve, hormis le final où la voix de basse de Frédérique Wolf-Michaux s'élève alors que le noir envahit le lieux". Rapport pour une Académie Ouest-France 11/01/1996
"...Et surtout Frédérique Wolf-Michaux dont la voix et la présence sont inoubliables" Le Lapon, le savant et l'apprenti Boréales 4/02/93
"Un fil conducteur onirique, la voix de Frédérique Wolf-Michaux sur une musique de Richard Dubelski. C'est cette voix, cette musique (...) que l'on retient." Le Lapon, le savant et l'apprenti Le Monde 4/01/1993
"L'engagement sans limite des chanteuses Dalila Khatir et Frédérique Wolf-Michaux, toutes deux aussi belles qu'émouvantes, bouleversantes" Elter Skelter La Marseillaise 21/12/1990
"Frédérique Wolf-Michaux drapée d'intemporelle beauté est la voix incantatoire de ce Désert brûlant" Fragment Désert Le Provençal 13/03/1987